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vieraskieliset / en-francais

Nul ne sait le moment du deuxième avènement de Jésus

Siionin Lähetyslehti
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2.4.2014 0.00

Juttua muokattu:

1.1. 23:51
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Le deu­xiè­me avè­ne­ment du Christ est un su­jet es­sen­tiel de la Bib­le. Jésus a dit que per­son­ne n'en con­naît le jour et l’heu­re mais Dieu seul. La pa­ro­le de Dieu nous ex­hor­te à ob­ser­ver les sig­nes du temps et à être prêts à cha­que mo­ment.

« Je viens bientôt. Tiens fer­me ce que tu as, afin que per­son­ne ne pren­ne ta cou­ron­ne. » Il est écrit ain­si dans l’Apo­ca­lyp­se (3 : 11).

Déjà à l’épo­que de l’Église ori­gi­nel­le les gens at­ten­dai­ent l’avè­ne­ment du Christ avec ar­deur. Les chrétiens ob­ser­vai­ent le tu­mul­te du mon­de et les sig­nes du temps, sou­vent au mi­lieu des persé­cu­ti­ons. Nomb­reux cro­yai­ent que le Christ re­tour­ne­rait en­co­re pen­dant leur vie.

Le deu­xiè­me avè­ne­ment du Christ est un su­jet es­sen­tiel de la Bib­le. Rien que dans le Nou­ve­au Tes­ta­ment, on ren­voie plus de trois cent fois au deu­xiè­me avè­ne­ment du Christ ou aux événe­ments liés à cela. Du­rant les sièc­les, on a vu be­au­coup de dif­fé­rents prophè­tes qui ont préten­du con­naît­re le mo­ment exact du deu­xiè­me avè­ne­ment du Christ et de la fin du mon­de. Pour­tant, tou­tes ces prédic­ti­ons ont été déce­van­tes. Jésus a en­seigné au su­jet de la fin du mon­de : « Pour ce qui est du jour ou de l'heu­re, per­son­ne ne les con­naît, pas même les an­ges dans le ciel, pas même le Fils, mais le Père seul » (Marc 13 : 32).

Il est im­por­tant de veil­ler

Qu­el­le est la con­cep­ti­on du temps dans la Bib­le ? Il est dif­fi­ci­le de comp­rend­re le temps de Dieu par l’in­tel­li­gen­ce hu­mai­ne. Pier­re rap­pel­le dans sa let­t­re : « Mais il est un point que vous ne de­vez pas oub­lier, bien-aimés : c'est que, de­vant le Seig­neur, un jour est com­me mil­le ans et mil­le ans sont com­me un jour » (2 Pier­re 3 : 8). D'aut­re part, la tâche de l'hom­me n'est pas d'es­sa­yer de de­vi­ner l'heu­re de Dieu : « Ce n'est pas à vous de con­naît­re les temps ou les mo­ments que le Père a fixés de sa prop­re au­to­rité » (Act. 1 : 7). Not­re con­cep­ti­on du temps est bas­ée sur le cyc­le de la créa­ti­on. Mais l'ac­ti­on de Dieu n'est pas liée à not­re con­cep­ti­on du temps, non plus à not­re compré­hen­si­on.

Au lieu d'es­sa­yer de de­vi­ner le mo­ment exact du deu­xiè­me avè­ne­ment du Christ, la pa­ro­le de Dieu nous ex­hor­te à ob­ser­ver les sig­nes du temps, à veil­ler en foi et à être prêts à cha­que mo­ment. L'au­teur de ce ver­set court de l'Apo­ca­lyp­se (3 : 11) nous ex­hor­te aus­si à veil­ler : « Je viens bientôt. Tiens fer­me ce que tu as, afin que per­son­ne ne pren­ne ta cou­ron­ne. »

L'an­ge de l'Église de Phi­la­delp­hie était fa­ti­gué dans son prop­re com­bat de la foi. On lui dit : « Je con­nais tes œuv­res. Voi­ci : j'ai mis de­vant toi une por­te ou­ver­te que nul ne peut fer­mer, par­ce que tu as peu de puis­san­ce, que tu as gardé ma pa­ro­le et que tu n'as pas re­nié mon nom » (Apo 3 : 8). L'an­ge de l’Église de Phi­la­delp­hie fut en­cou­ragé à résis­ter à son com­bat de la foi jus­qu’à la fin, à se re­met­t­re au nom de Dieu, à la rémis­si­on des péchées et aux soins de l'Éter­nel.

La joie de Paul

L'apôt­re Paul était cons­cient d'une tra­di­ti­on pro­ve­nant déjà de l'an­ti­quité, se­lon la­qu­el­le le vain­qu­eur d’une gran­de épreu­ve spor­ti­ve ou le héros mi­li­tai­re ob­te­nait la cou­ron­ne de lau­rier, sym­bo­li­sant la vic­toi­re et la gloi­re. Qu­and Paul comp­rit que sa fin était proc­he, il écrit à son jeu­ne ami et col­la­bo­ra­teur Ti­moth­ée: « J'ai com­bat­tu le bon com­bat, j'ai ac­hevé la cour­se, j'ai gardé la foi. Désor­mais la cou­ron­ne de jus­ti­ce m'est réserv­ée ; le Seig­neur, le jus­te juge, me la don­ne­ra en ce Jour-là, et non seu­le­ment à moi, mais à tous ceux qui au­ront aimé son ap­pa­ri­ti­on » (2 Tim. 4 : 7–8).

Paul a éprouvé de la joie puis­que, par la puis­san­ce de Dieu, il avait sur­monté les dif­fé­ren­tes tri­bu­la­ti­ons de sa vie et il avait gardé le don de la foi. Pour lui était vraie la pro­mes­se que le Christ avait don­né à ses dis­cip­les : « Et voi­ci, je suis avec vous tous les jours, jus­qu'à la fin du mon­de » (Matt. 28 : 20).

La con­fi­an­ce en la pro­mes­se de Dieu

Paul at­ten­dait le prix, la cou­ron­ne de jus­ti­ce, qu'il au­rait lors du deu­xiè­me avè­ne­ment du Christ. Pour Paul, il n'était pas im­por­tant de sa­voir si le Christ ar­ri­ve­rait pen­dant sa vie. Il avait con­fi­an­ce en ce que le jus­te juge ar­ri­ve­rait un jour, com­me l'avait pro­mis le Christ lui-même.

Les pro­mes­ses de la pa­ro­le de Dieu sont tou­jours va­li­des. Quel que soit le mon­de au­tour de nous et qu­el­les que soi­ent les pha­ses de not­re vie, rap­pe­lons que le Christ a pro­mis d’être avec les siens, tou­jours et par­tout. Si nous nous re­met­tons à cet­te pro­mes­se et avons con­fi­an­ce en grâce de Dieu et en la rémis­si­on des péchés, nous pou­vons com­bat­t­re dans la foi avec sécu­rité au jour le jour. Que Dieu nous don­ne la puis­san­ce de gar­der not­re trésor le plus précie­ux, pour que, au mo­ment de l'avè­ne­ment du Christ, nous aus­si au­rons la cou­ron­ne de jus­ti­ce sur not­re tête.

Sour­ce : Sii­o­nin Lä­he­tys­leh­ti 10/2013

Tra­duc­ti­on: SK

Teks­tis­sä kä­si­tel­lään seu­raa­via raa­ma­tun­koh­tia: Apo­ca­lyp­se 3 : 11

Jul­kais­tu rans­kan­kie­li­ses­sä kie­li­liit­tees­sä 4/2014

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