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vieraskieliset / en-francais

L’amour de Dieu éveille la joie

Siionin Lähetyslehti
vieraskieliset / en-francais
29.12.2014 14.00

Juttua muokattu:

1.1. 23:50
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La ca­racté­ris­ti­que du ro­yau­me de Dieu est l’amour. L’amour du bon Ber­ger crée la joie. Le dis­cip­le de Jésus Christ se réjou­it du don de la foi et de l’espé­ran­ce de la vie éter­nel­le. L’Evan­gi­le nous don­ne le pou­voir de croi­re et d’ai­mer les aut­res en­fants de Dieu.

A l’ap­p­roc­he de la fête de Pâque, not­re Sau­veur a dîné avec ses dis­cip­les. Il a lavé les pieds de ses dis­cip­les, et leur a ain­si don­né un exemp­le: les dis­cip­les de­vai­ent fai­re la même chose que leur Seig­neur a fait pour eux. (Jean 13 : 1-17) Le Sau­veur exp­li­que la sig­ni­fi­ca­ti­on sym­bo­li­que du la­ve­ment des pieds dans son dis­cours d’adieu (Jean 13 : 31 - 14 : 31). Le con­te­nu prin­ci­pal du dis­cours est cris­tal­lisé dans les pa­ro­les: « Je vous don­ne un com­man­de­ment nou­ve­au : Ai­mez-vous les uns les aut­res ; com­me je vous ai aimés, vous aus­si, ai­mez-vous les uns les aut­res » (Jean 13 : 34). L’amour de Jésus à ses dis­cip­les était par­fait jus­qu’à la fin.

Pen­dant la der­niè­re Cène, l’en­seig­nant a présenté à ses élèves une pa­ra­bo­le du cep et des sar­ments : « Moi, je suis le vrai cep, et mon Père est le vig­ne­ron. Tout sar­ment qui est en moi et qui ne por­te pas de fruit, il le ret­ranc­he ; et tout sar­ment qui por­te du fruit, il émon­de afin qu’il por­te en­co­re plus de fruit. Déjà, vous êtes émondés, à cau­se de la pa­ro­le que je vous ai an­nonc­ée. De­meu­rez en moi, com­me moi en vous. De même que le sar­ment ne peut de lui-même por­ter du fruit, s’il ne de­meu­re sur le cep, de même vous non plus, si vous ne de­meu­rez en moi. » (Jean 15 : 1-4) La puis­san­ce pour la cro­yan­ce et pour de bons fruits de la foi vient du Christ.

Le Saint-Esp­rit en­seig­ne

Le Fils de Dieu, l’en­seig­nant par­fait, par­la à ses dis­cip­les de l’amour de Dieu : « Com­me le Père m’a aimé, moi aus­si, je vous ai aimés. De­meu­rez dans mon amour. Si vous gar­dez mes com­man­de­ments, vous de­meu­re­rez dans mon amour, com­me j’ai gardé les com­man­de­ments de mon Père et que je de­meu­re dans son amour. » (Jean 15 : 9-10)

L’Église du Christ croit et vit sur les fon­de­ments éter­nels de la pa­ro­le de Dieu. Jésus a dit : « Mais le Con­so­la­teur, le Saint-Esp­rit que le Père en­ver­ra en mon nom, c’est lui qui vous en­seig­ne­ra tou­tes cho­ses et vous rap­pel­le­ra tout ce que moi je vous ai dit » (Jean 14 : 26). « Et voi­ci son com­man­de­ment: Que nous cro­yi­ons au nom de son Fils Jésus-Christ, et que nous nous ai­mi­ons les uns les aut­res, se­lon le com­man­de­ment qu’il nous a don­né. Ce­lui qui gar­de ses com­man­de­ments de­meu­re en Dieu, et Dieu en lui ; et nous re­con­nais­sons à ceci qu’il de­meu­re en nous, par l’Esp­rit qu’il nous a don­né. » (1 Jean 3 : 23-24)

La voix du bon Ber­ger s’en­tend dans l’évan­gi­le

Jésus dit : « Moi, je suis le bon ber­ger. Je con­nais mes bre­bis, et mes bre­bis me con­nais­sent, com­me le Père me con­naît, et com­me je con­nais le Père ; et je don­ne ma vie pour mes bre­bis. J’ai en­co­re d’aut­res bre­bis qui ne sont pas de cet­te ber­ge­rie ; cel­les-là, il faut aus­si que je les amè­ne ; el­les en­tend­ront ma voix, et il y au­ra un seul trou­pe­au, un seul ber­ger. » (Jean 10 : 14-16) Nous en­ten­dons la voix du Bon Ber­ger qu­and un cro­yant déclare le par­don des péchés au nom et au sang ex­pi­a­toi­re de Jésus.

C’est l’évan­gi­le de la rémis­si­on des péchés qui don­ne la puis­san­ce de la foi et de l’amour ent­re les en­fants de Dieu : « - - Dieu est lu­miè­re, il n’y a pas en lui de ténèbres. Si nous di­sons que nous som­mes en com­mu­ni­on avec lui, et que nous marc­hi­ons dans les ténèbres, nous men­tons et nous ne pra­ti­quons pas la vérité. Mais si nous marc­hons dans la lu­miè­re, com­me il est lui-même dans la lu­miè­re, nous som­mes en com­mu­ni­on les uns avec les aut­res, et le sang de Jésus son Fils nous pu­ri­fie de tout péché. Si nous di­sons que nous n’avons pas de péché, nous nous sédui­sons nous-mêmes, et la vérité n’est pas en nous. Si nous con­fes­sons nos péchés, il est fidè­le et jus­te pour nous par­don­ner nos péchés et nous pu­ri­fier de tou­te in­jus­ti­ce. » (1 Jean 1 : 5-9)

La joie de l’amour du Bon Ber­ger

L’amour du Bon Ber­ger éveil­le la joie. Jésus a dit : « Je vous ai parlé ain­si, afin que ma joie soit en vous et que vot­re joie soit complè­te » (Jean 15 : 11). Le dis­cip­le du Christ se réjou­it du don de la foi, que Dieu a préparé en son Fils Jésus-Christ : « par­ce que tout ce qui est né de Dieu tri­omp­he du mon­de, et voi­ci la vic­toi­re qui tri­omp­he du mon­de : not­re foi » (1 Jean 5 : 4).

L’en­fant de Dieu se réjou­it aus­si de l’espé­ran­ce de la vie éter­nel­le : « Bien-aimés, nous som­mes main­te­nant en­fants de Dieu, et ce que nous se­rons n’a pas en­co­re été ma­ni­festé ; mais nous sa­vons que lors­qu’il sera ma­ni­festé, nous se­rons semb­lab­les à lui, par­ce que nous le ver­rons tel qu’il est. Qui­con­que a cet­te espé­ran­ce en lui se pu­ri­fie, com­me lui (le Seig­neur) est pur. » (1 Jean 3 : 2-3)

L’amour est la ca­racté­ris­ti­que du ro­yau­me de Dieu

L’amour est la ca­racté­ris­ti­que du ro­yau­me de Dieu dans ce mon­de. Jésus dit : « A ceci tous con­naît­ront que vous êtes mes dis­cip­les, si vous avez de l’amour les uns pour les aut­res » (Jean 13 : 35). Not­re Sau­veur com­man­de ses dis­cip­les en dou­ceur : « Voi­ci mon com­man­de­ment : Ai­mez-vous les uns les aut­res, com­me je vous ai aimés » (Jean 15 : 12).

L’amour ent­re les cro­yants et l’una­ni­mité en­gendr­ée par le Saint-Esp­rit ap­pel­lent l’hom­me inc­ro­yant à la re­pen­tan­ce et à la cro­yan­ce de l’évan­gi­le, dans la com­mu­ni­on du ro­yau­me de Dieu. Aus­si bien dans le ciel que dans l’Église de Dieu on se réjou­it de cha­cun qui a reçu la grâce de la re­pen­tan­ce (Luc 15 : 3-7). Qu­and le Bon Ber­ger ret­rou­ve sa bre­bis per­due, la joie est gran­de : « Tu rends la na­ti­on nomb­reu­se, Tu lui dis­pen­ses la joie. El­le se réjou­it de­vant toi de la joie des mois­sons, Com­me on pous­se des cris d’al­lég­res­se au par­ta­ge du bu­tin. » (És. 9 : 2)

Tex­te: Kyös­ti Pie­vi­läi­nen

Tra­duc­ti­on: S. K.

Sour­ce: Jour­nal de Mis­si­on de Sion 2/2014

Jul­kais­tu rans­kan­kie­li­ses­sä kie­li­liit­tees­sä 11/2014.